Au Pays-Bas, un homme fait sensation à chaque fois qu’il paie quelque chose dans un magasin ou un restaurant. Pas besoin d’argent liquide, de carte bancaire ou de téléphone portable. Grâce à un implant, il place sa main gauche près du lecteur de carte et le paiement est effectué.
La technologie utilisée est la communication en champ proche ou NFC. D’autres implants de paiement sont basés sur l’identification par radiofréquence (RFID), une technologie similaire à celle que l’on trouve couramment dans les cartes de débit et de crédit physiques par proximité.
Numérisation intégrale de l’existence
Grâce à cette technologie qui achève la numérisation intégrale de l’existence, il sera possible de suivre chaque individu dans un fichier universel des pucés. Le puçage des humains ouvre, en effet, la voie au contrôle social et à la domestication de l’individu. C’est connu, les pouvoirs politiques finissent toujours par s’emparer des innovations technologiques pour les mettre à leur service.
Aujourd’hui, le puçage est conçu pour faciliter les paiements. Et demain ? Le citoyen hyper-pucé portera sous la peau son dossier médical ou son bilan carbone dans le cadre de la lutte contre le changement climatique. Dans ce cas, les gouvernements auraient le pouvoir de limiter le nombre de voyages autorisés dans l’année par individu, la quantité de viande consommé ou tout autre chose. Autrement dit, le puçage pourrait se transformer en tyrannie souriante.
La marque de la bête ?
En Europe, plusieurs milliers de personnes consentent à se faire implanter ces puces. A chaque époque, quand apparait une facilité technologique, les hommes sont tellement heureux qu’ils y convergent tous. Convaincus que cela va leur faciliter la vie. Sauf qu’ici, mieux vaut être prévenu.
Les Livres Saints l’ont prédit, pour ceux qui y croient :
« Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six », peut-on lire dans Apocalypse 13, 16. Sans commentaire…
K. Bruno